Fantasy, Lectures "La tête dans les étoiles"

L’Agent des ombres, tome 7 : Chiens de guerre par Michel Robert

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Editions : Pocket ou (Fleuve noir pour le grand format)

Paru en : Septembre 2014 pour le format poche

Pages : 569

Le héros :

Dans ce monde, il y a plusieurs plans dont les principaux, la Lumière, les Ténèbres et le Chaos, et on peut voyager de l’un à l’autre par des portails de téléportation entre autre.

Nous suivons Cellendhyll de Cortavar, qui vient à l’origine du plan maître de la Lumière, qui se destinait à devenir Lige de l’empereur, trahi par ses compagnons, battu et laissé pour mort. Intervient Morion, prince du Chaos, qui en échange de la vie lui fait jurer de le servir, c’est ainsi que Cellendhyll devient un agent du Chaos, une ombre autrement dit un guerrier d’exception, une arme vivante, qui tôt ou tard consommera sa vengeance.

Dans ce tome :

Cellendhyll se retrouve à végéter à Tygarde, empire de la Lumière, un serment d’allégeance arraché par l’empereur Priam en échange de la vie de sa compagne, Constance. Il n’est que rage bouillonnante, un fauve en cage alors qu’il ne voulait qu’une chose, sa liberté, après avoir servi 10 ans durant le prince du Chaos. Il se sent trahi encore une fois et sa frustration est à son comble.

Vient l’action avec l’évasion de la Prison de l’oubli de Vargh Loken, chef d’une petite section de combattants d’élite, les Chiens de guerre. Son objectif : se venger de la traitrise de Priam et pour ce faire, il va toucher aux bases de l’empire. Dès l’attaque de la banque principale, Cellendhyll le sent, l’adversaire est à sa mesure voire meilleur et il n’aura qu’une hâte, arriver à la confrontation.

Mon avis :

Michel Robert n’a pas son pareil pour offrir des romans hypers visuels, que ce soit dans les décors, les banquets où chaque service est minutieusement détaillé (et nous met l’eau à la bouche, j’avais envie de tout goûter), les vins minutieusement décrits dans les sensations éprouvées (Cellendhyll est amateur de bons crus dans ces moments de détente), jusqu’aux scènes de combat tellement riches qu’on prend des cours d’arts martiaux ni plus ni moins, limite on pourrait les reproduire (déconseillé tout de même).

Comme d’habitude, j’ai adoré suivre Cellendhyll dans ses aventures et vu la fin pleine d’interrogations sur ses parents et leur fin plus tragique que ce qu’on avait bien voulu lui dire, le tome 8 promet d’avoir encore un bon rythme dans l’action.

Bonne lecture

4 réflexions au sujet de “L’Agent des ombres, tome 7 : Chiens de guerre par Michel Robert”

Une petite bafouille ?